SANATORIUM

  • Extinction des feux est une installation faisant partie de l’exposition Là où je me terre, sous commissariat de Mélanie Rainville, présentée à l’ISELP (Bruxelles) du 28 avril au 2 juillet 2023. Avec Léa Belooussovitch – Olivia Boudreau – Maren Dubnick – Jean-Maxime Dufresne & Virginie Laganière – Bruno Goosse – Harold Lechien – Katherine Longly – Charlotte Lybeer – Léa Mayer & Maëlle Maisonneuve – Set & Chloé

  • Recherche issue de travaux antérieurs relatifs aux sanatoriums, ce projet s’appuie sur l’observation et la comparaison de deux situations particulières : les sanatoriums détruits du Plateau-des-Petites-Roches, à Saint-Hilaire du Touvet, sur les hauteurs de Grenoble et le sanatorium reconvertit en centre de vacances Guébriant du Plateau d’Assy à Passy, près de Chamonix.

  • Exposition. Espace intermédiaire, 15.03-16.04.2023. To “rearrange the deck chairs” is a popular saying meaning that things have changed only apparently. L’exposition « Rearranging the deck chairs » présente des propositions issues de recherches entreprises depuis quelques années concernant l’invention des sanatoriums publics dans le cadre de la lutte contre la tuberculose au début du XXe siècle. Prenant au sérieux le rôle de l’environnement sur la santé, le sanatorium est un bâtiment construit dans le but de favoriser la cure du malade : air, soleil, repos forcé et nourriture abondante. La galerie de cure, dont est doté ce bâtiment, permettait au…

  • Sanatorium Atmosphere is the title of an artistic research presented as an exhibition in Tartu (Estonia) and in Vilnius (Lithuania) in the autumn 2020 and 2021. This text is the closing keynote of « The European Spa as a Transnational Public Space and Social Metaphor », final project meeting / conference, 2-3 June 2022 Brijuni Islands, Croatia. Sara Bédard-Goulet (Tartu) & Bruno Goosse (Bruxelles)

  • Titanikas galley, Vilnius, 19-08 / 18-09-2021 Après Tartu en Estonie, l’installation «Sanatorium’s atmosphere» est visible à la Titanikas de Vilnius du 19 août au 18 septembre dans le cadre de l’exposition « Returns ». Cette exposition réunit Damien Beyrouthy, Dénes Farkas, Bruno Goosse, Anna Guilló et Pascal Navarro, avec des œuvres qui abordent la question de la […]

  • Parution 2021. André Leroi-Gourhan et l’esthétique. Art et anthropologie, volume (35-36) de La Part de l’Œil . Je suis très honoré d’être présent en si bonne compagnie dans ce remarquable ouvrage et reconnaissant qu’il m’ait été ainsi donné l’occasion d’expérimenter une forme plastique de l’article construit sur celle de l’exposition. Plus qu’un hommage à André […]

  • The Sanatorium’s Atmosphere is a solo show by the Belgian artist Bruno Goosse, which takes place at the Kogo Gallery in collaboration with Sara Bédard-Goulet, Professor of Romance Studies at the University of Tartu Faculty of Arts and Humanities. Atmosphère sanatoriale questions the invention of the public sanatorium as a political response to the tuberculosis […]

  • Atmosphère sanatoriale est une exposition présentée à la galerie Kogo de Tartu, sous commissariat de Sara Bédard-Goulet et Liina Raus. Elle résulte d’une invitation de Sara Bédard-Goulet et s’inscrit dans le cadre des recherches qu’elle mène à l’université de Tartu qui explorent le potentiel des arts à bouleverser la vie. Atmosphère sanatoriale interroge l’invention du […]

  • Le projet « atmosphère sanatoriale » poursuit les recherches concernant l’invention des sanatoriums publics dans le cadre de la lutte contre la tuberculose (inspiration/exposition, Saint-Omer, 2019). S’inscrivant dans le cadre d’une invitation de l’université de Tartu, il prend en compte le contexte de l’histoire de l’Estonie. Ce projet a donné lieu à une exposition présentée à la […]

  • Produite par l’espace36 association d’art contemporain de Saint-Omer, la brochure « impression / expiration » est une édition faisant partie du projet « inspiration / exposition ». Distribuée gratuitement durant l’exposition (septembre et octobre 2019) elle en constituait la version imprimée.

  • inspiration / exposition, est un projet de recherche qui interroge l’invention des sanatoriums en tant que réponse politique à un problème sanitaire: la tuberculose. Ce projet interroge la tension entre un modèle consistant à isoler les malades des biens portants en modifiant leurs conditions de vie en un lieu donné (le sanatorium ) et la possibilité de rendre plus saines les conditions de vie des femmes et des hommes candidats à la maladie. Ce choix est à l’origine d’une pensée de la séparation dont les effets sont aujourd’hui tangibles.

  • (2019) Là où le climat n’était pas considéré comme naturellement bénéfique, on plantait des pins ou des sapins autour du sanatorium afin d’améliorer sensiblement l’atmosphère.

  • (2019) Mur du fond de l’immense galerie de cure de l’ancien sanatorium d’Helfaut.

  • A l’invitation du centre d’art de St Omer, espace36, inspiration / exposition, sept et oct 2019. Prenant au sérieux l’existence d’un ancien sanatorium sur le plateau d’Helfaut, à Saint-Omer, ce projet interroge la tension entre un modèle consistant à isoler les malades des biens portants en modifiant leurs conditions de vie en un lieu donné (le sanatorium ) et la possibilité de rendre plus saines les conditions de vie des femmes et des hommes candidats à la maladie. Ce choix est à l’origine d’une pensée de la séparation dont les effets sont aujourd’hui tangibles.